L’auteure écrit sur la perte de ce père qu’elle a tant aimé.
Comment parvenir à encaisser le choc ?
Comment réaliser, intégrer, accepter ce qui peut sembler irréel, impossible.
Sous la forme de chapitres très courts, composés comme des soubresauts de chagrin et de rage, où l’amour et l’admiration portés au père explosent à chaque page, Chimamanda nous parle de ce deuil si unique, si personnel.
Merveilleusement bien écrit et traduit, ce roman
regorge d’imageries magiques héritées des peuples d’Afrique.
Un des plus beaux livre de la rentrée.